Connais-toi toi-même… et tu connaîtras l’univers et les dieux : Explications - Podcast #019

🎙️ "Connais-toi toi-même, et tu connaîtras l’univers et les dieux."
Une phrase gravée au fronton du temple de Delphes… et peut-être, dans ton âme.

Et si cette invitation vieille de 2500 ans était la clé d’un changement radical dans ta perception, ta vie, ta réalité ?

Dans cet épisode puissant et immersif, nous plongeons au cœur de ce que signifie vraiment se connaître. Pas au sens mental, mais au sens sacré, existentiel, vibratoire.

Tu y découvriras :

🔹 D’où vient cette phrase, et pourquoi elle traverse les âges
🔹 Ce que “se connaître” veut dire dans les traditions anciennes (Grèce, Égypte, Védas, Tantra, Esséniens…)
🔹 Comment les neurosciences et la physique quantique confirment aujourd’hui ce que les sages savaient déjà
🔹 Pourquoi te rencontrer profondément te permet aussi de comprendre l’univers… et d’expérimenter le divin
🔹 Un exercice guidé puissant pour sortir de l’illusion de l’ego et rencontrer ton être essentiel

💫 Ce n’est pas un épisode. C’est une porte. Une invitation à te souvenir de qui tu es vraiment.

👉 À écouter si tu ressens :
• un appel à reconnecter avec toi-même
• un besoin de sens plus grand que le mental
• une intuition profonde que la réponse… est déjà en toi

✨ Un voyage mystique, philosophique, scientifique et poétique pour remettre du sacré là où le monde t’a appris à douter.

📲 Écoute, partage, respire. Et si ça t’appelle, viens m’en parler sur Instagram ou découvre mes accompagnements pour explorer ce chemin d’alignement avec ton être profond.

• Chapitrage :

  • 0 :00 - Teaser

  • 00:56 – Générique

  • 02:11 – Introduction : Entrer dans le temple du Soi

  • 03:13 - Connais toi toi-même: D'où vient cette phrase ? Et pourquoi elle est toujours aussi actuelle

  • 05:34 - « Connais-toi toi-même» : Décoder le langage des anciens

  • 08:30 - « Et tu connaîtras l’univers… » : Le miroir quantique

  • 12:35 - « Et les dieux » : Le retour au divin incarné

  • 18:36 - Pourquoi se connaître change tout, même si c’est parfois inconfortable

  • 20:38 - Exercice introspectif : “Le miroir sacré”

  • 08:46 - Conclusion – Connais-toi toi-même : Se connaître, c’est se souvenir

Transcription de l'épisode Connais toi toi-même et tu connaîtras l'Univers et les dieux, Explications

Et si je te disais… que la plus grande aventure que tu puisses entreprendre
n’est pas celle qui t’emmène à l’autre bout du monde…
… mais celle qui te ramène à toi ?

Et si derrière les blocages, les doutes, les quêtes spirituelles,
se cachait une seule et même invitation ?
✨ Revenir dans ton temple intérieur.
✨ Oser te rencontrer pour de vrai.
✨ Traverser le miroir… et te rappeler qui tu es.

Il y a plus de 2000 ans, cette phrase a été gravée dans la pierre,
comme un message codé laissé aux chercheurs de vérité :
“Connais-toi toi-même… et tu connaîtras l’univers et les dieux.”

Ce n’était pas une énigme.
C’était un passage.
Une clé.

🌌 Et si cette clé pouvait t’ouvrir non seulement à ta vraie nature…
mais aussi aux lois invisibles qui régissent la vie, l’univers, le divin ?

Alors… respire.
Oublie tout ce que tu crois savoir.
Et laisse-toi emmener dans ce voyage vers la seule destination qui vaille vraiment :
toi.

Connais toi toi-même : Entrer dans le temple du Soi

Bienvenue dans cet espace, où l’on explore ce qu’il y a de plus vaste… et de plus intime à la fois.
Aujourd’hui, je t’invite à pousser la porte d’un temple intérieur.
Un temple sans murs, sans toit, sans dogme.
Celui que chacun porte en soi.

Et sur ce temple, une inscription, vieille de plus 2500 ans, qui semble tout contenir :

✨ « Gnōthi seauton » /gnô-thi sé-aou-ton/ – Connais-toi toi-même.

Gravée au fronton du temple de Delphes, en Grèce, elle a traversé les âges, les langues, les religions…
Socrate l’a placée au cœur de son enseignement. Les mystiques l’ont méditée en silence.
Et aujourd’hui, nous allons l’ouvrir, mot après mot.
Car si cette phrase est restée… c’est qu’elle nous parle encore.

Mais que veut-elle dire vraiment ?

Et pourquoi « et tu connaîtras l’univers et les dieux » y a été ajouté plus tard ? Et par qui ?
Et pourquoi nous seraient-ils révélés… simplement en nous connaissant nous-mêmes ?
C’est ce que nous allons découvrir. Ensemble.

D'où vient cette phrase ? Et pourquoi elle est toujours aussi actuelle

Au temple de Delphes, tout un chacun venaient consulter la Pythie, une prêtresse, qui transmettait des conseils et des prédictions en canalisation directe du dieu Apollon.

Ce sanctuaire religieux majeur, situé sur les pentes du mont Parnasse, en Grèce centrale, était lui-même construit sur les vestiges brûlés d’un temple plus ancien datant du VIIe siècle avant J.-C.
L’Oracle de Delphes a joué un rôle important dans la vie spirituelle, religieuse, culturelle et politique de la Grèce pendant des siècles. Elle était une Grande Prêtresse, une prophétesse, qui servait d’intermédiaire pour la communication et les conseils divins. D’après mes recherches, ce sont plusieurs femmes qui se sont relayées à ce poste, puisque l’on peut remonter l’histoire du Temple de Delphes jusqu’avant l’épopée de Gilgamesh.

Personnellement, je pense que la Pythie était une grande prêtresse dans la lignée de la Déesse Mère, mais comme les dernières traces remontent à l’époque du recouvrement par le patriarcat, c’est Apollon qui reste inscrit dans les livres d’histoire.

Pour faire une demande à la pythie, il y avait tout un protocole.
Le processus de consultation impliquait des rituels, des cérémonies et autres Mystères. En règle générale, le demandeur présentait sa question aux prêtresses du temple, qui la transmettaient ensuite à l’Oracle. L’Oracle, dans un état de transe, plus ou moins induit par diverses méthodes telles que la danse, le son primordial, la méditation, la sollicitation de son énergie vitale et peut-être aussi l’inhalation de gaz naturels ou de plantes, donnait sa réponse, souvent dans un langage crypté ou poétique. Les prêtresses interprétaient ensuite le message de l’Oracle et le transmettaient au demandeur.

Mais, avant d’entrer dans ce temple sacré, sur le fronton était inscrit une injonction qui interpelle : Connais-toi toi-même.

Je ne pense pas que c’était juste un slogan publicitaire antique.

Et tu sais quoi ? Cette phrase a traversé les siècles.

Puis Socrate l’a reprise. Jung l’a traduite en psychanalyse. Les yogis l’ont chantée dans les Upanishads.
Même les mystiques soufis, bouddhistes, chrétiens… ont tourné autour de cette même idée :

Tu es le miroir de l’univers. Et si tu veux rencontrer le divin… commence par te rencontrer toi.

« Connais-toi toi-même» : Décoder le langage des anciens

Alors, commençons par le début : « Connais-toi».

Mais… de quelle connaissance parle-t-on ici ?
Sa portée va bien au-delà d’un simple appel à l’introspection intellectuelle.
Ce n’est pas un "savoir" scolaire, pas une étiquette psychologique, pas un inventaire de qualités et de défauts.

Dans le grec ancien, le mot γνῶθι (gnōthi) est apparenté au verbe gnōsis, qui désigne une connaissance sacrée. Une sagesse intuitive. Une révélation intérieure.
C’est un verbe d’expérience, pas d’analyse.
👉 Il s'agit d'une connaissance intuitive, révélée, expérimentée, semblable à ce que les traditions spirituelles appellent la gnose.

Et Seauton (σεαυτόν) /sé-aou-ton/ : pronom réfléchi à l'accusatif = toi-même, ton être propre
“toi-même”… ce n’est pas ton prénom, ton âge, ton métier.

Actuellement, ce que tu appelles “toi” est souvent un patchwork de conditionnements :

• Ce que tes parents t’ont transmis,

• Ce que la société a valorisé,

• Ce que tes blessures ont figé en toi.

Comme le dit Sadhguru :

“La plus grande illusion de l’être humain, c’est de croire qu’il est ce qu’il pense.”

Se connaître soi-même, ce n’est pas mettre une étiquette de plus sur notre front.
C’est au contraire… les retirer, une à une.
C’est ce que tu es… quand tu n’es plus rien.
Ce que tu es… quand tu n’as plus rien à prouver.
Ce que tu es… quand tu es dans le silence.

Se connaître, ici, c’est se reconnaître comme conscience.
Pas comme personnage. Pas comme masque social.

Se connaître, c’est descendre :

• De la tête au cœur,

• Du mental à la sensation,

• De l’histoire à l’instant.

Dans les traditions védiques, c’est ce qu’on appelle le Soi – Atman.
Dans le soufisme, on dit : « Celui qui se connaît soi-même connaît son Seigneur. »
Dans les mystères égyptiens, le hiéroglyphe du cœur — ib — représentait à la fois le siège de l’âme et la clé du jugement dernier.
Chez les Esséniens, l’homme était vu comme un pont entre le ciel et la terre et l’introspection comme un acte sacré.

Nous sommes des fragments d’étoiles, mais nous avons oublié notre éclat.
Et ce "connais-toi toi-même" est une invitation à se souvenir.

👉 C’est seulement après ce dépouillement que… quelque chose de vrai peut apparaître.
Une présence.
Un centre.
Un témoin silencieux, toujours là.

Donc « Gnōthi seauton »sé-aou-ton/ , c’est :

"Va à la rencontre de ta vraie nature."
"Reconnais-toi comme conscience vivante, au-delà des masques."
"Souviens-toi de toi."

« Et tu connaîtras l’univers… » : Le miroir quantique

Socrate est celui qui a profondément popularisé Gnōthi seauton (/gnô-thi sé-aou-ton/) comme fondement de sa philosophie.
Il aurait ajouté Et tu connaitras l’Univers et les dieux.

Cette seconde partie n’est pas gravée sur le temple ni citée dans les textes grecs anciens tels quels.

Elle est en réalité une interprétation ésotérique, mystique et philosophique, apparue bien plus tard, issue de courants néoplatoniciens, hermétiques et initiatiques.

Mais alors… pourquoi connaître notre intériorité nous permettrait-il de connaître l’univers ?
C’est là que le mystère devient mystique.

🧠 Et la physique quantique ? Elle aussi bouscule nos repères. L’expérience de la double fente, réalisée par Thomas Young puis développée par des géants comme Bohr, Heisenberg ou Wheeler, a montré que la présence de l’observateur influence le comportement des particules.

Ce que cela signifie ?
Que notre simple observation modifie la réalité. Que la conscience n’est pas extérieure au monde physique… mais en interaction permanente avec lui.

✨ Quand je change à l’intérieur… je change la fréquence que j’émets.
Et donc, je change ce que je reçois.

C’est aussi ce que disaient :

Hermès Trismégiste dans les textes hermétiques :  « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut. »

Plotin (néoplatonicien) : l’âme humaine est le reflet du Tout

Les Védas et les Upanishads : « Tat Tvam Asi » – Tu es Cela (le divin)

Mystiques chrétiens et soufis : « Qui se connaît, connaît son Seigneur »

Nous sommes l’univers observant l’univers.
Et notre expérience est une vibration accordée à notre propre perception.

Quand nous comprenons notre fonctionnement intérieur, nous découvrons aussi les lois qui régissent l’extérieur :
• Loi de résonance,
• Loi d’attraction,
• Loi du rythme,
• Loi de cause à effet...

Se connaître, c’est donc aussi… lire le code de la vie.
Le grand tissu vibratoire dans lequel nous sommes tous intriqués.

Les neurosciences ont démontré que notre cerveau est loin d’être figé. Il est plastique. Malléable. Et il change en fonction de notre attention, de nos émotions, de notre environnement.

🧠 Le neurologue Antonio Damasio a mis en lumière que la conscience de soi ne naît pas d’abord de la pensée, mais de la sensation. Ce qu’il appelle “le soi noyau” se manifeste par le ressenti corporel et c’est à partir de là que se construit notre perception du réel.

La formulation complète « Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers et les dieux » est donc une extrapolation spirituelle, qui exprime une vérité présente dans toutes les traditions initiatiques :

👉 Le microcosme (l’être humain) contient le macrocosme (l’univers)
👉 Se connaître en profondeur, c’est s’aligner avec les lois universelles
👉 Le divin n’est pas en dehors de nous, il se révèle à travers nous

Et ce que les traditions mystiques enseignent depuis des millénaires, la science contemporaine commence à le confirmer.

En se connaissant profondément, on commence à percevoir comment l’univers réagit à notre propre vibration. Parce qu’en vérité, nous ne sommes pas dans l’univers… nous sommes l’univers, devenu conscient de lui-même.

« Et les dieux » : Le retour au divin incarné

Et les dieux, alors ? Pourquoi cette phrase les mentionne-t-elle ?

Dans les traditions anciennes, les dieux ne vivaient pas dans les nuages.
Ils étaient les forces de la nature, les archétypes, les puissances de l’âme.

Connaître les dieux, ce n’est pas faire un catalogue de divinités.
C’est rencontrer en soi les autres humains et des archétypes vivants :
• La déesse de la créativité,
• Le dieu du courage,
• L’ombre du chaos,
• La lumière de la paix.

Et c’est peut-être cela que cette phrase nous souffle aujourd’hui :
👉 Tu n’es pas séparé du divin.
Tu ES le divin qui s’expérimente.
Et c’est valable pour chacun de nous, êtres humains
Et, selon moi, il est fortement possible que ce soit le cas pour tout ce qui a une conscience...
Ce n’est pas nouveau. Depuis des millénaires, les traditions anciennes le savaient déjà.

Dans les textes védiques, dans les tantras, dans les mystères égyptiens, chez les Esséniens, ou encore dans la tradition essénienne de Marie-Madeleine, on retrouve la même idée :

👉 Le divin n’est pas extérieur. Il est en nous. Et il peut être vécu, ressenti, incarné.

Les grandes prêtresses de la Déesse Mère, bien avant que le patriarcat ne recouvre tout, utilisaient la sexualité sacrée comme un rituel d’union avec le divin. C’était une voie d’éveil, de fusion avec le tout.
✨ Elles savaient que le corps est un temple. Que connaître son corps, son souffle, sa vibration, c’est renouer avec l’intelligence cosmique.

Dans le tantra, par exemple, “se connaître” ne passe pas par la pensée. Il passe par la lenteur, la présence, la sensorialité, le silence.
On ne cherche pas à comprendre avec la tête. On goûte ce que l’on est, dans l’instant, dans l’union du féminin et du masculin, dans l’acceptation totale. C’est énergétique.

Dans les traditions spirituelles anciennes (védas, taoïsme, soufisme,Kabbale, génèse), la respiration est une porte d’accès à la conscience élargie, voire à l’union avec le divin.

Partage d'expérience personnelle :

Et là, pour le coup, j'ai une expérience personnelle, où j'étais en stage de respiration transformatrice.
Donc je venais de faire la période active et j'étais dans la phase d'intégration. Et en fait pendant la phase d'intégration, je suis partie de mon corps, je suis partie dans une autre dimension, et là j'ai pris conscience, je me suis aperçue, je sais pas comment on dit, que la vie était un théâtre en fait, et que la... conscience venait s'expérimenter dans chacun des petits individus que nous sommes et avec chacun ses rôles et les masques. Et notre identification à ce rôle et à ces masques qui sont tellement importants pour nous et auxquels on s'accroche tellement dans cette vie d'humain et là ma conscience pouvait observer mon être humain qui s'identifiait à ces personnages et à ces masques.
Et je voyais que c'était pour tout le monde pareil. Et là, j'ai éclaté de rire. Tellement c'était mignon, j'ai envie de dire. Mignon, ridicule et en même temps avec beaucoup de compassion. Et en même temps de prendre conscience de ce jeu, de ce théâtre, c'est tellement bien fait ! Vraiment, mais j'ai éclaté de rire.
C'était une grosse prise de conscience de ces rôles auxquels on s'identifie. Et là, d'avoir fait ce pas de recul, cet élargissement de conscience, de me décoller de mes masques, de me décoller de mon personnage, vraiment, ça m'a poussée dans un fou rire... Oui, de ridicule, de soulagement, de compassion et de... Oui, ce n'est que ça, en fait, quoi. La vie, ce n'est que ça. C'est une expérience où on vient tester des émotions, on vient tester des sensations, le bien, le mal, la dualité, le jugement...
Voilà, ça, c'était mon petit passage expérience perso, partage.

Voilà, pour revenir à l'épisode...

Ces traditions nous rappellent une chose essentielle :
le sacré n’est pas dans les hauteurs.
Il est dans l’incarnation. Dans le souffle. Dans la sensation. Dans le cœur.

Pourquoi se connaître change tout (même si c’est parfois inconfortable)

Quand tu commences à découvrir qui tu es vraiment :
👉 La vie devient un jeu, un théâtre avec plein de personnages qui jouent des rôles.
👉 Tu arrêtes de vivre la vie des autres.
👉 Tu te libères des attentes, des rôles, des “il faut que…”
👉 Tu cesses de chercher des réponses à l’extérieur.
Parce que tout ce que tu cherches “là-bas”, à l’extérieur…
… est déjà là, en toi.

Mais attention : se connaître, ce n’est pas toujours agréable, hein 😅
Parfois, tu vas rencontrer ton impatience.
Ton besoin de contrôle.
Tes dépendances affectives, des addictions.
Tes masques et tes parts d’ombre.

Mais derrière tout ça, tu retrouves la douceur d’être vrai.

Et c’est souvent là que mes client·es me disent :
👉 "Je croyais venir pour comprendre…
Mais en fait, je suis venue pour me rencontrer et m’accueillir."

Et si… se connaître, c’était aussi se souvenir ?

Dans la tradition gnostique, on ne cherche pas à “apprendre”. On cherche à se souvenir. Parce que l’âme sait. Parce qu’elle n’a jamais oublié. Elle attend juste… qu’on écoute à nouveau.

✨ On ne devient pas divin. On se rappelle qu’on l’est déjà.

Et parfois, il suffit d’un regard, d’un silence, d’un souffle… pour ouvrir une porte intérieure que l’on croyait fermée depuis toujours.

C’est cette porte que j’aime accompagner à rouvrir. Doucement. En conscience. Ensemble.

Et c’est là que tout bascule. 🌟

(Sache que si tu sens que tu as besoin d’un espace pour vivre cette rencontre avec toi-même, c’est exactement ce que je propose dans mes accompagnements... mais je t’en reparlerai à la fin si ça résonne.)

Exercice introspectif – “Le miroir sacré”

Aller, comme d’habitude, je te propose un petit rituel très simple… mais très puissant.

Ferme les yeux.
Imagine un escalier en colimaçon… il descend vers un espace sacré.

Lentement tu descends les marches une à une.

En bas, une porte.
Tu l’ouvres.
Et tu entres dans un temple. Ton temple sacré.

Au centre, un miroir.
Mais ce miroir ne reflète pas ton visage.

Il reflète… ce que tu es quand tu ne joues plus aucun rôle.
Quand tu n’es plus ton égo.
Quand tu n’es plus ton mental, tes pensées.
Quand tu n’es plus ton corps.

Regarde.
Respire.
Accueille.

Et si tu le souhaites, pose cette question à haute voix :
« Qui suis-je… quand je ne suis plus personne ? »

Reste là un instant.
Puis remercie.

À présent, tu te détournes du miroir et, doucement, tu remontes les marches une à une jusqu’à revenir ici et maintenant.
Tu peux prendre une grande inspiration et remettre du mouvement dans ton corps.
Et quand ce sera ok pour toi, tu peux ouvrir les yeux.

À présent, tu peux te remercier pour le temps que tu viens de t’accorder.

Si tu le souhaites, tu peux le faire chaque jour. C’est une pratique magnifique pour sortir de l’illusion du “personnage” et te reconnecter à ton être profond.

Conclusion Connais toi toi-même et tu connaîtras l'Univers et les dieux : Se connaître, c’est se souvenir

« Connais toi toi-même et tu connaîtras l’Univers et les dieux. »
Cette phrase… n’est pas une énigme à résoudre.
C’est un chemin à vivre. "Connais-toi toi-même…"
Ce n’est pas une injonction. C’est un rappel.

Rappel que nous sommes bien plus vastes que notre histoire.
Rappel que la sagesse ne s’apprend pas.
Elle se révèle.
Et rappel que le divin n’est pas au ciel… mais dans chacun de nous.

💬 Ce que nous pouvons retenir :
• Se connaître, c’est se déconditionner.
• Se connaître, c’est se relier à plus vaste.
• Se connaître, c’est revenir chez soi… et y découvrir l’univers entier.

🙏 Et si ce voyage intérieur t’appelle, sache que c’est exactement ce que je propose dans mes accompagnements. Attention, je ne te promets pas une connexion au divin !
Mets je t’offre un espace sacré, pour oser descendre en soi. Se rencontrer. Se révéler. Et reprendre sa juste place.
Tu es toujours bienvenu·e pour en parler.

Merci d’avoir écouté jusqu’ici. Partagez cet épisode si une âme autour de toi cherche son chemin. Et surtout… souviens-toi : Tu n’es pas perdu·e. Tu es en train de te retrouver.
À très bientôt 💫
Je respire profondément, j’écoute cet appel intérieur... et je me souviens que changer le monde commence par se changer soi-même.